AMEN
(Gennes sur Glaize janvier 2011)
Flaque, reflet minable des cieux, où sont passées les saintes lueurs ?
La boue s’agglutine en ton creux et ce regard opaque offense le coeur.
Sans eau pourtant, tu redeviens ornière, un caillou au fond du trou ;
Dans l’orbite un rayon frappe et fait un clin d’œil de voyou.
Espoir, te caches-tu en ces profondeurs ou ne serait-ce qu’un leurre ?
On aimerait donner du sens aux choses quand on touche au malheur !
Quand le chemin sera réparé, tout sera oublié dans les secousses du passé
Et, dans le confort d’une vie sans vague, chacun benoîtement pourra prier.
La boue s’agglutine en ton creux et ce regard opaque offense le coeur.
Sans eau pourtant, tu redeviens ornière, un caillou au fond du trou ;
Dans l’orbite un rayon frappe et fait un clin d’œil de voyou.
Espoir, te caches-tu en ces profondeurs ou ne serait-ce qu’un leurre ?
On aimerait donner du sens aux choses quand on touche au malheur !
Quand le chemin sera réparé, tout sera oublié dans les secousses du passé
Et, dans le confort d’une vie sans vague, chacun benoîtement pourra prier.
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