UN CAFE AUX CIEUX
(Cassagnes, Gard, 1993)
Le paradis en poudre lyophilisé égaye le café noir du désespoir dans l’enfer du décor.
Qui rêve encore, en ce monde démesuré d’intendresse ?
Rodomontades, pognon sur rues, larmes crocodilesques !
L’avenir est aride de joies et même d’amour. Les rires grincent aux couchants de l’espoir. Les bouches se font limaces et bavent sur l’existence.
Les mots disparaissent dans la vase du quotidien. La couverture ignoble des conventions enterre chaudement les révoltes.
Eh, quoi, va-t-on cesser ?
Non : tout va bien sur la terre si ronde, la tête tourne et voit des étoiles...
Qui rêve encore, en ce monde démesuré d’intendresse ?
Rodomontades, pognon sur rues, larmes crocodilesques !
L’avenir est aride de joies et même d’amour. Les rires grincent aux couchants de l’espoir. Les bouches se font limaces et bavent sur l’existence.
Les mots disparaissent dans la vase du quotidien. La couverture ignoble des conventions enterre chaudement les révoltes.
Eh, quoi, va-t-on cesser ?
Non : tout va bien sur la terre si ronde, la tête tourne et voit des étoiles...
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