HÉLAS, MON AMOUR
(Gennes sur Glaize, Mayenne, 2003)
Hélas, mon amour j’en ai peur
Cela ne prendra pas des heures
Pour que l’oubli vide mon cœur
A quoi bon, en effet, les pleurs ?
Alors, qu’enfin nos mains s’amusent
Gaiement, de nos deux corps, sans ruse
Et que jamais nos âmes n’abusent
De ces vains sentiments qui usent.
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