LA VIE
(Saint-Sulpice, Mayenne, avril 2013)
La vie : ce grand tourment que parfois l’on prend en rêvant et, que d’un réveil douloureux, on remplit d’espérance.
Sous les éraflures du temps, on renâcle, on s’éreinte, on plie et l’on s’éteint.
De trahisons en abandons, le cortège humain pâlit sous les beautés terrestres.
Combien les mots sont vains, les élans inutiles, l’amitié éphémère et illusoire !
Vie : trois petites lettres dont on fait tout un plat que l’on voudrait somptueux et qui se révèle indigeste.
Sous les éraflures du temps, on renâcle, on s’éreinte, on plie et l’on s’éteint.
De trahisons en abandons, le cortège humain pâlit sous les beautés terrestres.
Combien les mots sont vains, les élans inutiles, l’amitié éphémère et illusoire !
Vie : trois petites lettres dont on fait tout un plat que l’on voudrait somptueux et qui se révèle indigeste.
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