Cette année encore,
ma petite troupe (quatre comédiens) a participé au «Cabaret des passions» organisé par le Théâtre Régional des Pays de la Loire.
Le principe :
- un format huit minutes (sketch, pantomime, marionnettes, jongleries, etc.) par troupe.
- Entre neuf et onze troupes par soirée en plus du fil rouge, de l’animateur et des musiciens.Le principe :
- un format huit minutes (sketch, pantomime, marionnettes, jongleries, etc.) par troupe.
- Trois dates, et en 2010 nos représentations avaient pour cadre, Mamers (Sarthe), Les Ponts-de-Cé (Maine et Loire) et Saint-Fort (Mayenne).
C’est l’occasion de rencontrer d’autres troupes, de voir leur travail, sans esprit de concurrence puisqu’il n’y a pas de jury, ni de médaille, ni autre colifichet, ni même un chèque. Juste le plaisir de partager un bon moment, quoi !
J’allais oublier de mentionner la joie presque extatique (il m’arrive de m’abandonner) d’être encadrés par des professionnels : éclairage, machinistes, son et organisation (loges, invitations, programmes etc.)
Je tiens dans ces lignes, à rendre un hommage vibrant, orné de trémolos, à notre metteur en scène Jacques Gouin qui nous a dirigé avec patience, humour et gentillesse. Mon sketch, sous sa houlette a pris une dimension que je ne soupçonnais pas.
Un mot s’impose : merci.
Je dois associer mes partenaires de scène à ce petit succès (nous avons eu le bonheur de faire réagir et rire le public) : Soizic Buisard, Virginie Caubel, et Nathalie Chauvin.
Le sketch ? « Homme sandwich »
Synopsis : Pendant la pause déjeuner trois femmes se retrouvent dans un jardin public. L’une d’elle déprime parce que son mari la trompe. Ses deux amies décident de lui donner des leçons de « drague » afin de rendre l’époux jaloux. Ça tombe bien, un homme est assis sur le banc d’à côté…
C’est l’occasion de rencontrer d’autres troupes, de voir leur travail, sans esprit de concurrence puisqu’il n’y a pas de jury, ni de médaille, ni autre colifichet, ni même un chèque. Juste le plaisir de partager un bon moment, quoi !
J’allais oublier de mentionner la joie presque extatique (il m’arrive de m’abandonner) d’être encadrés par des professionnels : éclairage, machinistes, son et organisation (loges, invitations, programmes etc.)
Je tiens dans ces lignes, à rendre un hommage vibrant, orné de trémolos, à notre metteur en scène Jacques Gouin qui nous a dirigé avec patience, humour et gentillesse. Mon sketch, sous sa houlette a pris une dimension que je ne soupçonnais pas.
Un mot s’impose : merci.
Je dois associer mes partenaires de scène à ce petit succès (nous avons eu le bonheur de faire réagir et rire le public) : Soizic Buisard, Virginie Caubel, et Nathalie Chauvin.
Le sketch ? « Homme sandwich »
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