Après dix-huit jours d'hospitalisation, le retour à la maison réjouit mon âme au delà de ce que j'imaginais ! Quelle jouissance de retrouver son fauteuil ! Quel plaisir d'avaler une entrecôte premier choix ! Bon, pour le vin, je vais attendre encore un peu...
HANTISE
(Grand'maison, Trélazé, 1997)
(Grand'maison, Trélazé, 1997)
Ma hantise familière exclut désormais l’antique tristesse, les habits de larmes, les noirs enchantements du tombeau.
Ma hantise familière mange mon coeur, dévore mon âme et me dénude, dévoilant au monde un homme nouveau.
A ses pieds menus, je dépose les armes du passé, heureux vaincu à l’abandon du verbe vain.
La tendresse à ma cervelle déroutée, comme l’opium endort les sombres idées, car ma hantise familière réveille mes songes les plus gais.
Ma hantise familière mange mon coeur, dévore mon âme et me dénude, dévoilant au monde un homme nouveau.
A ses pieds menus, je dépose les armes du passé, heureux vaincu à l’abandon du verbe vain.
La tendresse à ma cervelle déroutée, comme l’opium endort les sombres idées, car ma hantise familière réveille mes songes les plus gais.
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