COCARD
(Cassagnes, Gard, 1993)
Les larmes sont au point de non retour
Au coin de mon œil bleui au contour
A poing fermé sur la paupière humide
Il improvise un rince doigt sordide
Pour quelques mots une larme écrasée
Ah, mon pauvre œil, tous ces maux endurés !
Faut-il qu’une main aveugle et vulgaire
T’enlève le jour, fermant ta paupière ?
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