Lorsque j’ai mis mes textes en ligne sur deux sites consacrés au théâtre, je n’imaginais pas un seul instant que cela lancerait ma carrière d’auteur avec une telle vigueur (cette périphrase afin de ne pas employer « booster ») !
De la même façon, ce blog est venu un peu comme un cheveu sur la soupe ; je voyais le truc de manière un peu intimiste, genre monologue. Il s’agissait aussi de rendre service au jeune homme tourmenté que je fus en lui donnant un auditoire afin qu’il fasse entendre sa voix.
C’est mon grand défaut : je ne crois pas en grand chose et surtout pas en moi.
Cette conviction a été renforcée par l’absence totale de commentaires à mes billets, aussi je me disais que mes lecteurs étaient constitués d’amis, de proches, ou de sympathisants ; j’étais même sur le point d’y mettre n’importe quoi pour susciter des réactions.
Et puis l’icône « statistiques » m’a fait un clin d’œil de voyou et j’ai exploré cette fonctionnalité dont le côté voyeur n’a pas manqué de me troubler malgré tout…
Diable ! Mon blog est consulté de par le monde, il faut que je modère mes folies ! (Quoique.)
En tête la France évidemment, en second, plus surprenant : les Etats-Unis, puis viennent le Canada, le Luxembourg, la Belgique, le Danemark, la Suisse, l’Allemagne, le Royaume-Uni, Singapour, la Roumanie, l’Iran…
Certes, j’ai des amis ou des connaissances aux USA et en Belgique, de la famille en Allemagne et au Canada, et mes pièces sont interprétées dans les pays francophones…
Ayant vécu en Norvège dans les années soixante-dix (j’étais enfant), cela m’a fait quelque chose de voir qu’on me lisait ces derniers temps au Royaume du Danemark où rien n’est pourri, n’en déplaise à Hamlet !
Cher(s) lecteur(s)(trice)(s) Danois(e)(s), de grâce manifestez-vous, cela m’intrigue grandement. Mais cette invitation vaut aussi pour les autres habitants de la planète bleue.
De la même façon, ce blog est venu un peu comme un cheveu sur la soupe ; je voyais le truc de manière un peu intimiste, genre monologue. Il s’agissait aussi de rendre service au jeune homme tourmenté que je fus en lui donnant un auditoire afin qu’il fasse entendre sa voix.
C’est mon grand défaut : je ne crois pas en grand chose et surtout pas en moi.
Cette conviction a été renforcée par l’absence totale de commentaires à mes billets, aussi je me disais que mes lecteurs étaient constitués d’amis, de proches, ou de sympathisants ; j’étais même sur le point d’y mettre n’importe quoi pour susciter des réactions.
Et puis l’icône « statistiques » m’a fait un clin d’œil de voyou et j’ai exploré cette fonctionnalité dont le côté voyeur n’a pas manqué de me troubler malgré tout…
Diable ! Mon blog est consulté de par le monde, il faut que je modère mes folies ! (Quoique.)
En tête la France évidemment, en second, plus surprenant : les Etats-Unis, puis viennent le Canada, le Luxembourg, la Belgique, le Danemark, la Suisse, l’Allemagne, le Royaume-Uni, Singapour, la Roumanie, l’Iran…
Certes, j’ai des amis ou des connaissances aux USA et en Belgique, de la famille en Allemagne et au Canada, et mes pièces sont interprétées dans les pays francophones…
Ayant vécu en Norvège dans les années soixante-dix (j’étais enfant), cela m’a fait quelque chose de voir qu’on me lisait ces derniers temps au Royaume du Danemark où rien n’est pourri, n’en déplaise à Hamlet !
Cher(s) lecteur(s)(trice)(s) Danois(e)(s), de grâce manifestez-vous, cela m’intrigue grandement. Mais cette invitation vaut aussi pour les autres habitants de la planète bleue.
REVE
(Cassagnes, Gard, 1989)
(Cassagnes, Gard, 1989)
Un rêve suspendu comme un linge traversé par le vent. Un rêve blanc, un rêve bleu, un rêve cependant, un rêve tout de même qui me berce résolument. Un rêve pas sage d’un sale gamin de trente ans.
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